jour précédent antaŭa tago

Lundi 6 novembre 2017 SHANGHAI-GUANZHOU

Lundo 6an de novembro 2017 SHANGHAI-GUANZHOU

Lundi 6 novembre 2017
J’ai assez bien dormi. Au matin, le paysage est totalement différent : des collines couvertes d’arbres, de temps en temps, une ville avec des immeubles-tours en construction, et des espaces cultivés.
La sortie du train, à Guangzou se fait comme l’accès au train : dans la cohue. Mais à la sortie, il y a un bureau de change : je change cinquante euros. Il devrait y en avoir assez pour l’auberge.
Je traverse une bonne partie de la ville en métro, puis marche un peu, avec mon gros sac sur le dos, et mon petit sac à la main.
L’auberge est affiliée à la FUAJ (Fédération Unie des Auberges de la jeunesse). Elle est très bien, sauf qu’il y a beaucoup d’anglophones. Le seul problème est qu’elle demande un dépôt de garantie de cent yuans (13 euros). Du coup, je n’ai presque plus rien.
Je suis dans une belle chambre de huit lits (deux occupés) avec douche, toilettes, et lavabo attenants. Je souffle un peu, prend une douche, change de vêtement ; J’empeste la sueur.
Au rez-de-chaussée, il y a des machines à laver en libre service : j’en profite (6 yuans).
Il y a aussi un ordinateur connecté à internet en libre-service. J’y trouve un numéro d’urgence pour le service cartes. J’appelle, un répondeur me dit de rappeler pendant les heures de travail. Je crois qu’il y a huit heures de décalage entre la France et la Chine.
Je sors, et me dit que la première chose à faire est de changer encore cinquante euros. Je suis passé tout à l’heure devant une banque avec marqué « exchange ». J’y retourne, mais ils ne font plus le change. Il faut aller à la « Bank of China ». Je cherche une Bank of China, mais n’en trouve pas. Je retourne à la banque précédente : On me donne une explication à laquelle je ne comprend rien. Il est question de station 1 ou 41 et de bus.
J’opte pour retourner changer à la gare où je suis arrivé. Je retraverse la ville en métro, mais le hic, c’est que le bureau de change n’est accessible que par les voyageurs qui arrivent à Guangzou. Interdiction de remonter le courant : le bureau de change est à dix mètres, mais le policier en faction ne veut rien savoir.
On m’indique alors la sortie F du métro. Après avoir pas mal tourné, je la trouve. Je vois un hôtel de luxe : je me dis que l’on doit changer de l’argent là dedans. Erreur, il faut être client, pour les autres, il y a un automate, qui ne fonctionne pas.
On me dit de continuer sur le même trottoir : voici une banque, mais elle ne fait pas le change. Un peu plus loin, en voici une autre.
Cette fois, elle fait le change : on me donne un ticket : il y a quatorze personnes avant moi.
J’attends de 13h30 à 18h. A 17 heures, ils ferment l’entrée, mais continuent à servir les clients arrivés avant. Enfin, c’est mon tour : examen du passeport, du visa, signature : ça y est, j’ai de quoi manger quelques jours.
Je retraverse de la ville en métro. A la sortie, j’achète des clémentines : il y a un étiquette : 2 yuans, mais on m’en vend cinq pour cinq yuans. (0,80 euros). C’est beaucoup plus qu’à Shanghai. Plus surement, j’ai payé le prix pour touristes.
Je rappelle le numéro du service cartes : on me précise, après un peu de musique (2,15 euros par minute) que c’est mon agence qui a mis en place un blocage. Demain, mardi, c’est ouvert, mais avec le décalage horaire, il ne faut pas espérer une réponse avant mercredi matin.
Je mange une soupe aux nouilles (ça change) et à la viande dans un « restaurant » sur le trottoir : dix yuans (1,5 euros)

Lundo 6an de novembro 2017
Mi dormis sufiĉe bone. Matene, la pejzaĝo estas tute malsama: montetoj kovritaj de arboj, de tempo al tempo, urbo kun turo-loĝejoj konstruantaj kaj kultivitaj spacoj.
La eliro de la trajno, en Guangzou, estas kiel la aliro al la trajno: en la svarmo. Sed ĉe la eliro, ekzistas oficejo de ŝanĝo: mi ŝanĝas kvindek eŭrojn. Devus esti sufiĉe por la loĝejo.
Mi transiras grandan parton de la urbo per metroo, poste marŝas iomete, kun mia granda sako sur la dorso, kaj mia malgranda sako en la mano.
La gastejo estas aniĝita al la FUAJ (Unuiĝinta Federacio de Junularaj Gastejoj). ĝi estas bona, ekcepte ke estas multaj angla parolantaj personoj. La sola problemo estas, ke ĝi petas deponejon de cent juanoj (13 eŭroj). Do preskaŭ nenio restas por mi..
Mi estas en bela ĉambro de ok litoj (du okupitaj) kun duŝejo, necesejo kaj lavujo. Mi spiras iom, duŝiĝas, ŝanĝas de vestojn; Mi odoris ŝviton.
En la malalta planto, estas aŭtomataj maŝinoj por lavi: mi utiligas (6 juanojn).
Ankaŭ ekzistas komputilo konektita al interreta memserve. Mi trovas kriz-numeron por la creditkartoj. Mi vokas, responda maŝino diras, ke mi devas voki reen dum horoj de laboro. Mi pensas, ke ekzistas ok-horoj inter Francio kaj Ĉinio.
Mi eliras, kaj diras al mi, ke la unua afero farenda estas ŝanĝi aliajn kvindek eŭrojn. Mi preterpasis bankon kun markita "interŝanĝo". Mi reiras, sed ili ne plu ŝanĝas. Vi devas iri al la Bank of China. Mi serĉas Bankon de Ĉinio, sed ne povas trovi unu. Mi reiras al la antaŭa banko: oni klarigas al mi, sed mi ne komprenas. Ĝi temas pri stacio 1 aŭ 41 kaj buso.
Mi elektas reiri al la stacidomo, kie mi alvenis. Mi transiras la urbon per metroo, sed la problemo estas, ke la interŝanĝa oficejoestas nur atingelabla por vojaĝantoj alvenantaj al Guangzou. Malpermeso retroiri la elirejo la interŝanĝa oficejo estas dek metroj for, sed la policisto volas scii nenion.
Oni konsilas min la eliro F de la metroo. Post serĉado, mi trovas ĝin. Mi vidas luksan hotelon: mi diras al mi, ke ili devas ŝanĝi la monon interne. Eraro, oni devas esti kliento, se ne,, ekzistas maŝino, kiu ne funkcias.
Oni diras, ke mi daŭrigu sur la sama trotuaro: jen banko, sed ĝi ne ŝanĝas. Iom pli for estas unu alia.

tn_DSCN1612

Le paysage en Shanghai et Guangzhou la pajzaĝgo inter Shanghai kaj Guangzhou
tn_DSCN1613

Le train la trajno
tn_DSCN1614

Le compartiment La kupeo
tn_DSCN1615

Le paysage en Shanghai et Guangzhou la pajzaĝgo inter Shanghai kaj Guangzhou
tn_DSCN161

Le paysage en Shanghai et Guangzhou la pejzaĝgo inter Shanghai kaj Guangzhou
tn_DSCN1617

Le marchepied pour accéder aux couchettes supérieures la piedbreto por grimpi al la suproj litetoj
tn_DSCN1618

Le paysage en Shanghai et Guangzhou la pejzaĝgo inter Shanghai kaj Guangzhou
tn_DSCN1621

Le paysage en Shanghai et Guangzhou la pejzaĝgo inter Shanghai kaj Guangzhou
tn_DSCN1622

Le paysage en Shanghai et Guangzhou la pejzaĝgo inter Shanghai kaj Guangzhou
tn_DSCN1623

Le train La trajno