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Vendredi 26 juillet 2016 TACHKENT

Vendredon, la 26 de julio, 2016 TACHKENT

Vendredi 26 février 2016
Il fait chaud J’ai du mal à marcher avec mes chaussures « après-ski » étanches. Et ma grosse veste prévue pour la Sibérie. Je vais voir le centre religieux musulman. L’un des plus vieux corans du monde y est exposé. J’achète quelques souvenirs.
Je retourne vers le marché, le traverse , et prends le métro. Il faut montrer le contenu de son sac pour accéder à la station. Je visite le musée des arts d’Ouzbékistan.
Je mange un « plof » (ragout avec du riz » dans une brasserie (enseigne brasserie en français). Des gens fument dans la salle. Peut être n’ai-je pas choisi la bonne salle.
Je me dirige à pied vers le musée historique. Je passe par un quartier de bâtiments officiels, avec des hommes en costume et cravate qui sortent déjeuner ; Il y a aussi des jeunes en uniforme de lycéens ou étudiants.
J’arrive au musée historique ; toute une partie est fermée. Je continue en aller voir le monument de la mère attristée, avec la liste de tous les habitants d’Ouzbékistan, ou tous les Ouzbeks , morts pendant la « grande guerre patriotique ». Ils sont quatre cent milles.
Je rentre me reposer à l’auberge. Le tenancier m’amène des abricots au sirop, fait maison.
J’ai commandé un taxi pour minuit. Cela me laisse le temps de trouver une solution en cas d e »faux bond ». Je dors un peu.
A 23h45, je suis réveillé par mon téléphone portable. Le jeune de l’auberge m’apporte mon récipicé d’enregistrement, pouvant être demandé à la sortie du pays . C’est lui qui fait le taxi. Il m’emmène avec sa voiture et un ami.
Je suis à l’aéroport quatre heures avant l’heure du décollage. Ce n’est pas un luxe.
Dans l’ordre, voici les différentes étapes :
1 : emballage du sac dans un film de plastique
2 : contrôle à l’entrée de l’aéroport, passage du sac à la radio, questions sur les objets suspects (chargeurs de portable, appareil photo et tablette)
3 : remplissage d’une fiche de déclaration de devise à la sortie. Je mets longtemps à m’apercevoir que les imprimé sont dans une case verticale, sur les écritoires.
4 : attente et file d’attente pour le « check in », dépôt des bagages. Il ouvre trois heures avant l’heure prévue du décollage.
5 :File d’attente pour le contrôle de douane, remise de la fiche de déclaration de devises.
6 :File d’attente pour le contrôle des paseports
7 : attente dans la zone hors taxe
8 : File d’attente pour l’embarquement.
Ouf, ça y est, je suis dans l’avion d’Aeroflot, il est quatre heures trente du matin. Direction Moscou.  

Vendredon la 26 de februaro 2016
Mi malfacile piediras kun miaj ŝuoj "poste skioj" kaj mia granda jako planitita por Siberio.
Mi vizitas la islama religia centro. Unu el la plej malnovaj Koranoj en la mondo estas prezentita. Mi aĉetas kelkajn memoraĵojn al vendistino kiu helpis min por trovi la enirejo de la muzeo.
Mi revenas al la merkato, trairas ĝi, kaj prenas la metroo.
Oni devas montri la enhavon de sia sako por eniri la stacidomon. Mi vizitas la Muzeon de Arto de Uzbekio.
Mi manĝas "plof" (stufaĵo kun rizo "en bierfarejo (ŝildo en la franca : Brasserie).
Homoj fumas en la restoracio. Eble mi ne elektis la ĝustan lokon.
Mi promenas piede al la historia muzeo. Mi iras tra distrikto kun oficialaj konstruaĵoj, kun viroj en vestokompletoj kaj kravatoj kiuj venas tagmanĝ.
Ekzistas ankaŭ junuloj en uniformoj de lernejo aŭ studentoj.
Mi alvenas al la Historia Muzeo; parto estas fermita.
Mi poste vidas la monumento de la patrino afliktita kun la listo de ĉiuj personoj el Uzbekio, aŭ ĉiuj uzbekoj, mortigitaj dum la "Granda Patriota Milito".
Ili estas kvarcent mejloj.
Mi revenas por ripozi en la gastejo.
La luanto alportas min abrikotoj en siropo, faritaj per sia familio.
Mi mendis taksio al noktomezo.
Tiu lasas al mi tempon por trovi solvon en kazo ke ĝi ne venos. Mi dormetas.
Ĉe 23:45 Mi estas vekita per mia poŝtelefono.
La junulo de la gastejo portas al mi mian registriĝo paperon, ĝi povas esti demandita por eliri la landon. Estas li kiu faras la taksio. Li prenas min en lia aŭto kaj amiko de li.
Mi estas ĉe la flughaveno kvar horojn antaŭ la foriro de la aviadilo. Tio ne estas lukso.
En ordo, ĉi tie estas la proceduro:
1 : pakigi valizon en plasta filmo
2: Kontrolo ĉe la enirejo al la flughaveno, pasi la sakon tra la radioaparato, respondi pri suspektindaj objektoj (ŝargiloj por poŝtelefono, kaj aliajn elektrajn aparatetojn)
3 plenigu mono deklaro formon por la eliro. Mi metis longan tempon antaŭ rimarki, ke formularoj estas en vertikala skatolo sur la skribotabloj.
4: Starvico por la bagaĝo deponejo kaj enskribiĝi por la flugo. La giŝetoj malfermas tri horojn antaŭ la planita ekflugo.
5: Starvico por kutima inspektado, transdono de la monero deklaro formon.
6: Starvico por pasaporto kontrolo
7: atendanta en la sen imposto vendejoj spaco
8: atendovico por eniri la aviadilo.
Mi ĝojas, mi estas en la aviadilo de Aeroflot, estas la kvara kaj duono matene. Moskvo direkto.

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Figure 231 Musée de centre islamique de Taskent: commentaire sur le Coran d'Osman
Muzeo de la islama centro de Taŝkent : komento pri la Korano el Osman

Traduction
Le Coran d’Osman, conservé dans la bibliothêque du centre des mulsulmans d’Ouzbékistan a été réécrit sur des peaux de dains, au septième siècle sous les ordres du troisième caliphe légitime, impressionné par décimation des gens qui avaient appris le Coran par cœur, durant la période des guerres internes, dans le but de déterminer une version universelle du livre saint.
Il est déclaré dans la préface que six exemplaires du Coran ont été réécrits, et envoyés dans les différentes régions du Pays.
Seulement un exemplaire de ces livres a été conservé jusqu’à nos jours.
Un certificat de l’UNESCO confirme l’autenticité du Coran d’Osman.
Une autre preuve est constituée par des traces de sang du caliphe Osman, parce qu’il a été tué en le lisant.
Il y a beaucoup d’histoires et de légendes au sujet de comment le Coran d’Osman est arrivé en Asie Centrale.
D’après de nombreuses sources, il a été apporté en Transoxiane à partir de la ville irakienne de Bassora par Amir Timour (Tamerlan). Et a été conservé à l’école islamique de Samarkande.
En 1869, après la conquête de l’Asie Centrale par la Russie tsariste, le général-gouverneur Fonkaufman envoya le Coran à Saint Pétersbourg.
En 1905, cinquante copies de Coran furent faites.
En 1917, après la révolution russe, le Saint Coran fut emporté par les tatars à Oufa.
Sur demande des chefs religieux de Taskent et Sirdarya, par un décrêt spécial, en 1924, le Coran d’Osman fut envoyé à Tashkent et fut conservé au musée historique d’état d’Ouzbekistan.
En 1989, à l’initiative du premier président de la république d’Ouzbékistan, Islam Karimov, et suivant un décrêt du conseil des ministres d’Ouzbekistan, le coran d’Osman a été confié au Centre des musulmans d’Ouzbékistan.

Taille des pages : 53x68
Taille du texte : 33x39 et 36x46
Nombre de pages : 338

  Traduko
La Korano de Osman, konservita en la Biblioteko de islama centr de Uzbekio mulsulmans estis reskribita sur damaledo en la sepa jarcento sub la ordonoj de leĝa tria kalifo, impresita el dekumo de homoj kiuj lernis la Koranon parkere, dum la periodo de internaj militoj, por determini universala versio de la sankta libro.
Oni diras en la antaŭparolo ke ses kopiojn de la Korano estis reskribita kaj senditaj al malsamaj regionoj de la lando.
Nur unu el de tiuj libroj estis konservita ĝis hodiaŭ.
Unesko atestilo konfirmas la aŭtentecon de la Korano de Osman.
Alia pruvo estas la makuloj de sango de Kalifo Osman, ĉar li estis mortigita dum leganta ĝin.
Estas multaj rakontoj kaj legendoj pri kiel la Korano de Osman alvenis en Centra Azio.
Laŭ multaj ralontoj, li estis alportita en Transoxiana el la iraka urbo Basra per Amir Timur (Tamerlano). Kaj estis poste konservita ĉe la Islama lernejo de Samarkando.
En 1869, post la konkero de Centra Azio per la Cara Rusujo, la generalgubernatoro Fonkaufman sendis la Koranon al St Petersburg.
En 1905, kvindek kopioj de la Korano estis faritaj.
En 1917, post la rusa revolucio, la Korano estis forportita per la tataroj en Ufa.
Post peto de la religiaj estroj de Taŝkento kaj Sirdarya, per speciala dekreto en 1924, la Korano de Osman estis sendita al Taŝkento kaj estis poste konservita en la Stata Muzeo de UzbekioHistorio.
En 1989, laŭ iniciato de la unua prezidento de la Respubliko de Uzbekio Islam Karimov kaj per dekreto de la Konsilo de Ministroj de Uzbekio, la Korano d'Osman estis konfidida al la Centro de islamanoj de Uzbekio.

Paĝo grandeco: 53x68
Teksto grandeco: 33x39 kaj 36x46
Nombro da Paĝoj: 338

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Figure 232 Le centre musulman de Tachkent
La islama centro de Taŝkento
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Figure 233 Le centre musulman de Tachkent
La islama centro de Taŝkento
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Figure 234 Dans le metro de Tachkent
En la metroo de Taŝkento
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Figure 235 Dans le musée artistique de Tachkent :Kashina N .V. 1949
En la arta muzeo de Taŝkento Kashina N.V. 1949
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Figure 236 Dans le musée artistique de Tachkent Tansiqboyev Q.T. 1958
En la arta muzeo de Taŝkento Tansiqboyev Q.T. 1958
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Figure 237 Mon « plof »
Mia « plofo »
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Figure 238 Tachkent : un bâtiment officiel
Taŝkento : oficiala konstruaĵo
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Figure 239 Tachkent : la statue de Tarmerlan
Taŝkento : la statuo de Timur Lang
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Figure 240 Tachkent : vente de peintures en plein air
Taŝkento : vendejo de pentraĵojn ekstere
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Figure 241 Tachkent : Dans le musée historique
Taŝkento : en la historia muzeo

Traduction
La prise du pouvoir par les bolcheviks en 1917 a ouvert une nouvelle page dans l’histoire du peule Ouzbek, vieille de plusieurs siècles. Cette période a en fait, continué la période de la colonisation.
La période du pouvoir soviétique, longue de plus de soixante-dis ans, a été une période d’épreuves sévères.
Tout le contenu de l’idéologie communiste tendait à détacher l’homme de toutes choses : la propriété, la culture, et l’histoire. Les transformations socialistes ont mené à la création d’un état totalitaire, à la nationalisation autoritaire de l’économie, à l’élimination du pluralisme politique, et ont gravement endommagé l’originalité nationale ;
En dépit des promesses d’audétermination, l’Ouzbékistan a été privé de sa souveraineté et est devemu une base de matières brut pour le centre de l’union.
Tout au long de cette période, en dépit de ces aspets négatifs, et des répressions du régime totalitaire contre le peuple oubek au cours des années 30, 50 et, 80, l’inteligentsia nationale, les travailleurs et d’autres, ont œuvré pour préserver les intêrets nationaux, les valeurs spirituelles, et traditions séculaires de l’Ouzbékistan. Ils ont obtenu des succés dans les domaines sociaux, économiques et culturels.
La république a été transformée d’un pays agricole an un pays agro-industriel.
L’agriculture a été améliorée, des zones de steppe ont été mise en culture.
Les infrastructures dans les domaines éducatifs, scientifiques, et culturels, ont été améliorées.
Les effectifs des chercheurs scientifiques ont été multipliés par trois au cours des années 60-70.
De nombreux scientifiques sont devenus célébres, non seulement à l’intérieur, mais aussi à l’étranger.
Le théatre, les arts visuels, et la littérature ouzbeks, ont obtenus des succés éclatants.
En dépit du contrôle du régime totalitaire, et des restrictions politiques, ces domaines ont été enrichis de travaux talentueux, qui ont continué les meilleures traditions de la création artistique.
Le peuple est parvenu à préserver sa fierté, son histoire et sa spiritualité.
Cependant, de nombreuses années de la politique nationale soviétique et la dicture du PCUS ont amenés des problèmes sociaux et politiques.
La destabilisation de la situation politique provoquée par le centre, a préparé le terrain à l’éclatement de l’URSS, et à l’indépendance de l’Ouzbekistan.

Traduko
La kapto de potenco de la bolŝevikoj en 1917 malfermis novan paĝon en la historio de Uzbeka fulani, jarcentojn malnova. Tiu periodo fakte daŭrigis la periodo de koloniigo.
La periodo de sovetia potenco, sesdek jaroj longa, estis periodo de severaj malfacxilajxoj.
La tuta enhavo de komunisma ideologio inklinis deŝiri homo de ĉiuj aferoj: proprieto, kulturo kaj historio. La socialismaj transformoj kaŭzis la kreadon de totalisma ŝtato, la aŭtoritata ŝtatigo de la ekonomio, la elimino de politika plurismo, kaj serioze damaĝis la nacian originalecon.
Malgraŭ promesoj de memdecideco, Uzbekio estis senigita de lia suvereneco kaj transformigita en bazaj materialoj fonto por la centro de la unio.
Dum tiu ĉi periodo, malgraŭ tiuj negativaj aspetoj kaj subpremo de la totalisma reĝimo kontraŭ la oubekoj dum la jaroj 30, 50 kaj 80, la naciaj intelektuloj, la laboristoj ktp faris por konservi naciajn interesiojn, la spiritojn kaj sekularajn tradiciojn de Uzbekio. Ili akiris sukceson en la socia, ekonomia kaj kultura aferoj.
La respubliko estis transformita el agrikultura lando al agro-industria lando.
Agrikulturo estis plibonigita, stepaj areoj estis kultivitaj.
Infrastrukturo en edukado, scienco kaj kulturo, estis plibonigitaj.
La nombro de sciencistoj triobligis dum la jaroj 60-70.
Multaj sciencistoj farigis famaj ne nur ene, sed ankaŭ eksterlande.
Teatro, vidaj artoj, literaturo de Uzbekio atingis brilajn sukcesojn.
Malgraŭ la kontrolo de la totalisma reĝimo, kaj politikaj limigoj, tiuj subjektoj estis fortikigitaj per talenta laboro, kiu daŭrigis la plej bonajn tradiciojn de arta kreado.
La homoj sukcesis konservi lian fieron, lia historion kaj lia spiritecon.
Tamen,dum la multaj jaroj de la sovetia nacia politiko kaj diktatoreco de la PCUS alvenis sociajn kaj politikajn problemojn.
La malstabiliĝon de la centro kaŭzita pro la politika situacio, pretigis la grundon por la disfalo de la Sovetia uniono kaj la sendependeco de Uzbekio.

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Figure 242 Tachkent: bâtiment officiel
Taŝkent: oficiala kontruajo
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Figure 243 Tachkent : monument
FTaŝkent : monumento
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Figure 244 Plaque à l'entrée du mémorial
Skribajo ĉe la enirejo de la memorejo

Traduction :
Le square du souvenir construit en 1998-1999 est basé sur un projet initié par Islam Kadirov, le premier président de la république d’Ouzbekistan

Traduko :
La memorejo konstruita dum jaroj 1998-1999 estas el projekto el Islam Kadirov, la unua prezidento de la republiko de Ubekio

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Figure 245 La liste des ouzbeks morts pendant la grande guerre patriotique
la listo de la uzekioj mortigitaj dum la granda patriotika milito.
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Figure 246 Le mémorial
La memorejo
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Figure 247 La statue de la mère affligée
La statuo de la malĵojega patrino
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Figure 248 Enfants jouant au cerf-volant
infanoj ludantaj al frugdrako