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Mercredi 11 décembre 2013 CHEKI(AZERBAIJAN)

Merkredon11an de decembro 2013 ŜAKI (AZERBAJĜANO)

La voiture commandée la veille est là à huit heures pile. Je suis à la gare routière vers 8h50. Là, j’éprouve des difficultés à trouver l’emplacement de mon bus pour Shaki. Heureusement, un homme m’aide.
Nous voici en route, Un homme plus âgé que moi, assis à coté de moi, me fait des discours en russe et m’offre du pain. Le paysage est décevant : uniformément plat sur les deux tiers du chemin, puis sec avec des ravins quand nous nous dirigeons vers les montagnes du Caucase. A l’arrivée, il me dépose à mon hôtel avec son taxi. L’hôtel est luxueux, ça me change des précédents. Il n’y avait que pour celui là que je pouvais réserver par internet. Je suis accueilli comme une personnalité importante : il ne doit pas passer beaucoup d’étrangers. Je parts à pied voir les deux deux choses les plus importantes de Shaki : un caravansérail transformé en hôtel, et une citadelle. Le chemin est un peu long. Dans la citadelle se trouve un office du tourisme. Le dernier touriste , un autrichien, est passé il y quatre jours. Il y a aussi un petit musée avec quelques bricoles et une entrée à cinq euros. Comme il ne passe pas beaucoup de touristes, ils se rattrapent quand il en passe un. Il y a quatre personnes au musée, pour un touriste tous les quatre jours.
L’employé de l’office du tourisme m’a parlé d’un ancien temple, préchrétien, de l’ancienne civilisation dite albanaise du Caucase. Je marchande un taxi pour y aller, et en route. La route monte dans la montagne, le paysage est beau, mais la nuit commence à tomber.
Dans le village, il faut emprunter une rue pavée qui monte très fort. La voiture glisse sur une plaque de glace et se bloque contre la paroi rocheuse à l’arrière gauche. Nous voici bloqués.
Je parts en exploration à pied pendant que le chauffeur demande de l’aide à une autre voiture. Je monte quelques centaines d e mètres : c’est une vraie patinoire : tant pis : j’abandonne.
Je retrouve le taxi, sorti de sa mauvaise position, et nous rentrons à shaki. Nous passons par la gare routière : d’après les gens présents, il y a des bus pour Zakatala, tout prés de la frontière, et un bus pour la Georgie à onze heures.
Le chauffeur me ramène à l’hôtel. Je lui donne un peu plus que le prix convenu, du fait du problème rencontré. Il est content.

La aŭto mi ordigis hieraŭ estas tie je la oka horo ekzakte. Mi estas ĉe la bushaltejo je la 8:50. tie, mi havas problemon por trovi la loko de mia buso al Shaki . Feliĉe , homo helpas min.
Ni estas survoje , homo pli aĝa ol mi, sidata apud min, faras al mi paroladoj en la rusa kaj donas al mi panon . La pejzaĝo estas unuforme plata sur la du trionoj de la vojo , poste seka kun ravinoj kiam ni eniras la montojn de la Kaŭkazo . Je la alveno, mia najbaro proponas al mi lokon en siaj taksio , kaj lasas min ĉe mia hotelo. La hotelo estas luksa , tio estas malsimila ol la antaŭaj. Tra interreto mi povis nur rezervi en tiu ĉi. Mi estas bonvenigita kiel grava persono. Ili ne devas vidi multajn eksterlandanojn. Mi iras vidi la du plej gravaj ajoj en Shaki : karavanhaltejo transformita en hotelo, kaj citadelo. La vojo estas iom longa. En la citadelo estas turisma oficejo. La lasta turisto , aŭstro , venis tie kvar tagojn antaŭe . Ekzistas ankaŭ malgranda muzeo kun kelkaj tradiciaj aĵoj kaj enirtarifo de kvin eŭroj . Kiel ne estas multe da turistoj , ili pagigas kiam oni pasas . Estas kvar virinoj en la muzeo, por unu turisto ĉiu kvar tagoj.
Oficisto de la turisma oficejo rakontas al mi pri antikva templo , antaŭ- kristana , el antikva civilizacio nomata Albana Kaŭkazio . Mi diskutas la prezo kun taxiisto , kaj ni iras. La vojo iras supren en la monto , la pejzaĝo estas belega, sed la nokto komencas fali .
En la vilaĝo , la vojo estas pavimita vojo, kiu grimpas tre forta. La aŭto glitas sur flikaĵon de glacio kaj kraŝas kontraŭ la roka murego ĉe maldekstra malantaŭ angulo. Ni estas blokitaj .
Mi iras antaŭe piede dum la ŝoforo petas helpon de alia aŭto. Mi paŝas kelkcent metroj : estas vera glitkurejo domaĝe : mi rezignas .
Mi trovas la taksion en pli bona pozicio, kaj ni reiras al shaki . Ni pasas apud la bushaltejon : Laŭ la personoj ĉeestantaj estas busoj al Zakatala , tuj proksime de la landlimo, kaj buso al Kartvelio je la dekunu morgaŭ.
La ŝoforo lasas min al la hotelo. Mi donas al li iom pli ol la interkonsentita prezo, pro la problemo . Li estas feliĉa .

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Figure 55 Le bus Bakou-Cheki
Figuro 55 La buso Baku-Ŝaki
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Figure 56 le paysage dans le sud de L'Azerbaïdjan
Figuro 56 La pajzaĝo en la sudo de Azerbaidĝano
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Figure 57 le paysage dans le sud de L'Azerbaïdjan
Figuro 57 La pajzaĝo en la sudo de Azerbaidĝano
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Figure 58 l'entrée dans les montagnes du Caucase
Figuro 58 La eniro en la kaukazo montaroj
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Figure 59 l'entrée dans les montagnes du Caucase
Figuro 59 La eniro en la kaukazo montaroj
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Figure 60 Cheki: L'hôtel-karavanserial
Figuro 60 Ŝaki la karanvanhaltejo hotelo
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Figure 61 Cheki: les murs de la citadelle
Figuro 61 Ŝaki: la meregoj de la sitadelo
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Figure 62 Cheki: le musée dans la citadelle
Figuro 62 Ŝaki: la muzeo interne de la sitadelo
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Figure 63 Cheki: les constructions à l'intérieur de la citadelle
Figuro 63 Ŝaki: konstruajoj interne de la citadelo
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Figure 64 Cheki la citatdelle
Figuro 64 Ŝaki la sitadelo